Mon rêve quand j'étaits petite

Quand j'étaits petite, je voulais devenir peintre.

J'adoraits dessiner à cette époque-là, (et je n'avais aucune doute que je le deviendrais) / et j’étais sûre et certaine que je le deviendrais.

Après que je suis entrée dans unêtre entrée au collège, je me suis inscrite dans un club d'art, dans lequel on fasait dpouvait créer les œuvres d'art comme qu’on voulait.

Comme le collège où j'allais était une école privée, on pouvait avancer dans son lycéentrer en seconde / pouvait être admis au lycée / pouvait être admis en seconde sans examen, donc je suis restée audans le même club pendant six ans. / on pouvait entrer en seconde sans avoir à passer d’examen(s)

Ça s'est bien passé et j'avais encore ce rêve d'être artiste de quelque sor/ de devenir artiste.

Mais je me suis arrêtée après que je suis’ai abandonné ce rêve après avoir participé auà un programme d'été qui m'a appris comment dessiner pour réussir l'es épreuves d'entrée aux universités d'art / pour réussir le concours d’entrée en école d’art.

J'adorait dessiner à cette époque-là, et je n'avais aucune doute que je le deviendrais.

Dessiner ou peindre ? :)
Il y a une nuance sémantique entre les deux

Après que je suis entrée dans unêtre entrée au collège, je me suis inscrite dans un club d'art, dans lequel on fasétait des œuvres d'art comme libre de créer les œuvres qu'on voulait.

Contrairement à l'anglais, le «collège» français est une "middle school" (je m'assure juste que cela correspond à ce que vous avez voulu dire)
Lorsque les verbes de deux subordonnées ont le même sujet («entrer au collège» et «s'inscrire») on utilise une structure infinitive: «après être entrée»

Comme le collège où j'allais était une école privée, on pouvait avancer dans sonprogresser au lycée sans examen, donc je suis restée au/dans le même club pendant six ans.

Alternative: «on pouvait passer dans les classes supérieures sans examen»

Ça s'est bien passé et j'avais encore ce rêve d'être artiste d'une quelconque sorte.

Mais je me suis arrêtée après que je suisavoir participé auà un programme d'été qui m'a appris comment dessiner pour réussir l'es épreuves d'entrée aux universités d'art.

Je ne me suis amusée pas du tout de cette activitéamusée aux activités proposées, qui était là pour se former des capacitéent destinées à développer des compétences de base.

Je me sentais gênée aussi que tous les outils et équipements coûtaient très chers, et je suis arrivée à comprendre que ce sentiment venait de lamon manque de la passion pour réussir dans ce domaine-là.

Alternative (plus naturelle): «ça me gênait aussi beaucoup que tous les outils coûtent si chers»

Je n'ai jamais regretté cette décision, mais parfois je me suis demandée comme que je serais devenue si je 'avais choisi de continuer à poursuivre des études d'art en classe de terminale.

Si vous vous le demandez toujours actuellement: «je me demande ce que je serais devenue»
je+voyelle => j'