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mareczek1234

May 4, 2021

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Les blancs qui auraient rejoint les rebelles esclaves

Dans l'île d'Haïti, à quelques septante kilomètres au nord de Port-au-Prince, il y a une village qui s'appelle Cazale, dont les habitants revendiquent leur heritage polonais, même si leur connexion actuelle avec le pays est un peu douteux, basée sur seulement quelques coutumes qui restent, comme danser le polka ou tresser les cheveux.

Cependant, c'est l'histoire de cette communauté qui est vraiment intéressante, et pour l'expliquer il faut rappeler des réalités géopolitiques de l'ère napoléonienne. À la suite de la perte de l'independance de leur pays, certains polonais ont rejoint La Grande Armée, dans les formations appelées «Les Legions Polonais», car l'Empereur leur avait promis la restauration de leur patrie. Rien de ça n'est arrivé, seulement la création de la duché de Varsovie, qui comprenait seulement la cinquième de l'ancienne territoire. Les légionnaires commençaient à être déçus avec le comportement de Napoléon, se sentaient usés pour ses fins, et enfin étaient un peu incommodes pour l'Empire. Quand la rebellion des esclaves avait eclaté aux Caraïbes, deux de trois demibrigades des Polonais sont envoyés vers l'île, faisant partie de l'expedition de Leclerc.

C'est là d'où vient la légende des légionnaires, qui en se rendant compte que les rebelles se battaient aussi pour leur liberté, desertaient en masse et se sont rejoints à des rangs des haïtiens. Le problème avec les légendes cependant c'est qu'elles ne sont pas complètement vraies. La réalité était que les polonais, malgre qu'ils n'étaient pas du tout contents, ont suivi leurs ordres. Selon les comptes fragmentaires dont on dispose, ils auraient été moins racistes que les autres membres de l'expédition, et ils traitaient mieux des prisonniers capturés. Les rebelles generalment retournaient le faveur, et quand ils prenaient conscience qu'un militaire capté ne parlait pas français (y compris aussi les allemands et suisses qui intègrent les forces expéditionnaires), ses chances de survie augmentaient.

Toutefois, des 5200 legionnaires qui étaient partis pour Haïti, seulement quelques centaines sont encore vives en 1803, les autres avaient tombées à cause des combats, ou plus importantement, la fièvre jaune. Pourtant, il faut souligner que certains, s'estime que leur nombre était environ 150, ont effectivement changé d'allégeance et soutenaient Dessalines. Enfin, c'était une grande partie des survivants, mais pas la majorité de leur force originale. Dans la constitution de la nation nouvellement née, ils ont été accordées le statut des negres, égaux aux autres haitiens, et plus tard ils ont été épargnés des purges de 1804.

Corrections

Les bBlancs qui auraient rejoint les rebelles esclavesclaves rebelles

Les Blancs ou les Noirs prennent une majuscule. Un homme blanc, non. C'est la même chose que pour les Polonais/le peuple polonais
Ce sont les esclaves qui se sont rebellé, esclaves est donc en première position.

Dans l'île d'Haïti, à quelques septante kilomètres au nord de Port-au-Prince, il y a une village qui s'appelle Cazale, dont les habitants revendiquent leur heritage polonais, même si leur connexion actuelle avec le pays est un peu douteuxse, basée sur seulement quelques coutumes qui sont restentées, comme danser lea polka ou tresser les cheveux.

"quelques septante kilomètres". Je comprends l'effet de style, mais en l'état, il me semble que c'est faux. Si le sens est "à peu près 70 km" "quelque" devrait être au singulier. "Quelques dizaines de kilomètres" c'est simple et sûr. Ou "à peu près 70 km si vous voulez être précis"

Cependant, c'est l'histoire de cette communauté qui est vraiment intéressante, et pour l'expliquer il faut rappeler des réalquelques faités géopolithistoriques de l'ère napoléonienne.

ou "il faut rappeler le contexte géopolitique de ..."

À la suite de la perte de l'indeépendance de leur pays, certains polonais ont rejoint Lla Grande Armée, dans les formations appelées «Les Leégions Polonaises», car l'Empereur leur avait promis la restauration de leur patrie.

Rien de çcela n'est arrivé, seulement la création de lau duché de Varsovie, qui comprenait seulement lae cinquième de l'ancienne territoire.

Les légionnaires commençaient à être déçus avecpar le comportement de Napoléon, se sentaient usés pour ses finmanipulés, et enfin étaient un peu incommodes pouren colère contre l'Empire.

"être incommode" n'existe pas ( en tout cas en français standard ). Ne sachant pas précisément ce que vous vouliez dire, j'ai remplacé par un terme générique.

Quand la reébellion des esclaves avait e éclaté aux Caraïbes, deux des trois demi-brigades des Polonais sont envoyées vers l'île, faisant partie de l'expeédition de Leclerc.

Ma correction n'est correcte que si le sens est "il y avait trois demi-brigades en tout, et deux ont été envoyées" ( c'est ce que j'ai compris )

C'est là d'oùde là que vient la légende des légionnaires, qui en se rendant compte que les rebelles se battaient aussi pour leur liberté, deésertaient en masse et se sont rejoints à desaux rangs des haïtiens.

Le problème avec les légendes, cependant, c'est qu'elles ne sont pas complètement vraies.

La réalité étaiest que les pPolonais, malgreé qu'ils n'étae soient pas du tout contents, ont suivi leurs ordres.

ou "malgré le fait qu'ils ne soient pas du tout contents"

Selon les compterécits fragmentaireés dont on dispose, ils auraient été moins racistes que les autres membres de l'expédition, et ils traitaient mieux dles prisonniers capturés.

"compte" est pour les chiffres. Vous pensiez à "conte" ? un conte est toujours une fiction, donc "récit" est mieux ici.

Les rebelles generalmentleur retournaient legénéralement la faveur, et quand ils prenaient conscience qu'un militaire capturé ne parlait pas français ( y compris aussi les aAllemands et sles Suisses qui intèégraient les forces expéditionnaires ), ses chances de survie augmentaient.

Toutefois, des 5200 legionnaires qui étaient partis pour Haïti, seulement quelques centaines soétaient encore vivesen vie/avaient survécu en 1803, les autres avétaient tombées à cause des combats, ou plus importantement,souvent, à cause de la fièvre jaune.

Pourtant, il faut souligner que certains, s'on estime que leur nombre était environ 150, ont effectivement changé d'allégeance et soutenaient Dessalines.

Enfin, cC'était donc une grande partie des survivants, mais pas la majorité de leur force effectif d'originale.

Dans la constitution de la nation nouvellement née, ils ontouvelle nation, ils leur a été accordées le même statut des neque les Nègres, égaux aux autres haiHaïtiens, et plus tard ils ont été épargnés dpar les purges de 1804.

Ca peut faire bizarre "être épargné par une purge" mais c'est l'expression d'usage : "être épargné par le covid", au hasard.
Attention au terme "nègre". Je le trouve très juste : c'était celui utilisé à l'époque, et n'a aucune connotation raciste dans ce contexte. Cependant, tout le monde ne le comprendrait pas de la même façon...

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C'était intéressant, comme d'habitude.

mareczek1234's avatar
mareczek1234

May 4, 2021

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Les légionnaires commençaient à être déçus avecpar le comportement de Napoléon, se sentaient usés pour ses finmanipulés, et enfin étaient un peu incommodes pouren colère contre l'Empire.

Au temps pour moi. Au fait je ne pouvais pas trouver un mot juste, j'ai voulu dire que les légionnaires n'étaient plus un «atout» pour l'Empire, car ils étaient dissatisfies, donc les Légions sont devenus un fardeau, sorte d'un probléme, des gens qui incommodaient, inquietaient l'Empereur

mareczek1234's avatar
mareczek1234

May 4, 2021

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Selon les compterécits fragmentaireés dont on dispose, ils auraient été moins racistes que les autres membres de l'expédition, et ils traitaient mieux dles prisonniers capturés.

Non, je voulais dire compte comme un compte rendu, mais apparemment le mot ne marchait pas ici.
Récit donc semble un mot exactement juste!

mareczek1234's avatar
mareczek1234

May 4, 2021

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Dans la constitution de la nation nouvellement née, ils ontouvelle nation, ils leur a été accordées le même statut des neque les Nègres, égaux aux autres haiHaïtiens, et plus tard ils ont été épargnés dpar les purges de 1804.

Oui, j'ai eu peur que l'utilisation de ce mot pourrait fâcher certains, toutefois étant donne que dans ce contexte le terme avait été utilisé comme une designation d'honneur par Dessalines, je l'ai trouvé juste aussi

mareczek1234's avatar
mareczek1234

May 4, 2021

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Merci pour la correction, je suis ravi que vous avez trouvé le texte interessant!

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kezako

May 4, 2021

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Incommodes... oui j'aurais dû comprendre. A la place "... se sentaient manipulés, et étaient devenus plutôt gênants/étaient devenus un fardeau pour l'Empire", c'est quand même mieux, je trouve.
En tout cas, bravo pour "au temps pour moi", c'est rare de le trouver bien écrit.

Les blancs qui auraient rejoint les rebelles esclaves


Les bBlancs qui auraient rejoint les rebelles esclavesclaves rebelles

Les Blancs ou les Noirs prennent une majuscule. Un homme blanc, non. C'est la même chose que pour les Polonais/le peuple polonais Ce sont les esclaves qui se sont rebellé, esclaves est donc en première position.

Dans l'île d'Haïti, à quelques septante kilomètres au nord de Port-au-Prince, il y a une village qui s'appelle Cazale, dont les habitants revendiquent leur heritage polonais, même si leur connexion actuelle avec le pays est un peu douteux, basée sur seulement quelques coutumes qui restent, comme danser le polka ou tresser les cheveux.


Dans l'île d'Haïti, à quelques septante kilomètres au nord de Port-au-Prince, il y a une village qui s'appelle Cazale, dont les habitants revendiquent leur heritage polonais, même si leur connexion actuelle avec le pays est un peu douteuxse, basée sur seulement quelques coutumes qui sont restentées, comme danser lea polka ou tresser les cheveux.

"quelques septante kilomètres". Je comprends l'effet de style, mais en l'état, il me semble que c'est faux. Si le sens est "à peu près 70 km" "quelque" devrait être au singulier. "Quelques dizaines de kilomètres" c'est simple et sûr. Ou "à peu près 70 km si vous voulez être précis"

Cependant, c'est l'histoire de cette communauté qui est vraiment intéressante, et pour l'expliquer il faut rappeler des réalités géopolitiques de l'ère napoléonienne.


Cependant, c'est l'histoire de cette communauté qui est vraiment intéressante, et pour l'expliquer il faut rappeler des réalquelques faités géopolithistoriques de l'ère napoléonienne.

ou "il faut rappeler le contexte géopolitique de ..."

À la suite de la perte de l'independance de leur pays, certains polonais ont rejoint La Grande Armée, dans les formations appelées «Les Legions Polonais», car l'Empereur leur avait promis la restauration de leur patrie.


À la suite de la perte de l'indeépendance de leur pays, certains polonais ont rejoint Lla Grande Armée, dans les formations appelées «Les Leégions Polonaises», car l'Empereur leur avait promis la restauration de leur patrie.

Rien de ça n'est arrivé, seulement la création de la duché de Varsovie, qui comprenait seulement la cinquième de l'ancienne territoire.


Rien de çcela n'est arrivé, seulement la création de lau duché de Varsovie, qui comprenait seulement lae cinquième de l'ancienne territoire.

Les légionnaires commençaient à être déçus avec le comportement de Napoléon, se sentaient usés pour ses fins, et enfin étaient un peu incommodes pour l'Empire.


Les légionnaires commençaient à être déçus avecpar le comportement de Napoléon, se sentaient usés pour ses finmanipulés, et enfin étaient un peu incommodes pouren colère contre l'Empire.

"être incommode" n'existe pas ( en tout cas en français standard ). Ne sachant pas précisément ce que vous vouliez dire, j'ai remplacé par un terme générique.

Quand la rebellion des esclaves avait eclaté aux Caraïbes, deux de trois demibrigades des Polonais sont envoyés vers l'île, faisant partie de l'expedition de Leclerc.


Quand la reébellion des esclaves avait e éclaté aux Caraïbes, deux des trois demi-brigades des Polonais sont envoyées vers l'île, faisant partie de l'expeédition de Leclerc.

Ma correction n'est correcte que si le sens est "il y avait trois demi-brigades en tout, et deux ont été envoyées" ( c'est ce que j'ai compris )

C'est là d'où vient la légende des légionnaires, qui en se rendant compte que les rebelles se battaient aussi pour leur liberté, desertaient en masse et se sont rejoints à des rangs des haïtiens.


C'est là d'oùde là que vient la légende des légionnaires, qui en se rendant compte que les rebelles se battaient aussi pour leur liberté, deésertaient en masse et se sont rejoints à desaux rangs des haïtiens.

Le problème avec les légendes cependant c'est qu'elles ne sont pas complètement vraies.


Le problème avec les légendes, cependant, c'est qu'elles ne sont pas complètement vraies.

La réalité était que les polonais, malgre qu'ils n'étaient pas du tout contents, ont suivi leurs ordres.


La réalité étaiest que les pPolonais, malgreé qu'ils n'étae soient pas du tout contents, ont suivi leurs ordres.

ou "malgré le fait qu'ils ne soient pas du tout contents"

Selon les comptes fragmentaires dont on dispose, ils auraient été moins racistes que les autres membres de l'expédition, et ils traitaient mieux des prisonniers capturés.


Selon les compterécits fragmentaireés dont on dispose, ils auraient été moins racistes que les autres membres de l'expédition, et ils traitaient mieux dles prisonniers capturés.

"compte" est pour les chiffres. Vous pensiez à "conte" ? un conte est toujours une fiction, donc "récit" est mieux ici.

Les rebelles generalment retournaient le faveur, et quand ils prenaient conscience qu'un militaire capté ne parlait pas français (y compris aussi les allemands et suisses qui intègrent les forces expéditionnaires), ses chances de survie augmentaient.


Les rebelles generalmentleur retournaient legénéralement la faveur, et quand ils prenaient conscience qu'un militaire capturé ne parlait pas français ( y compris aussi les aAllemands et sles Suisses qui intèégraient les forces expéditionnaires ), ses chances de survie augmentaient.

Toutefois, des 5200 legionnaires qui étaient partis pour Haïti, seulement quelques centaines étaient encore vives en 1803, les autres était tombée à cause des combats, ou plus importantement, la fievre jaune.


Pourtant, il faut souligner que certains, s'estime que leur nombre était environ 150, ont effectivement changé d'allégeance et soutenaient Dessalines.


Pourtant, il faut souligner que certains, s'on estime que leur nombre était environ 150, ont effectivement changé d'allégeance et soutenaient Dessalines.

Enfin, c'était une grande partie des survivants, mais pas la majorité de leur force originale.


Enfin, cC'était donc une grande partie des survivants, mais pas la majorité de leur force effectif d'originale.

Dans la constitution de la nation nouvellement née, ils ont été accordées le statut des negres, égaux aux autres haitiens, et plus tard ils ont été épargnés des purges de 1804.


Dans la constitution de la nation nouvellement née, ils ontouvelle nation, ils leur a été accordées le même statut des neque les Nègres, égaux aux autres haiHaïtiens, et plus tard ils ont été épargnés dpar les purges de 1804.

Ca peut faire bizarre "être épargné par une purge" mais c'est l'expression d'usage : "être épargné par le covid", au hasard. Attention au terme "nègre". Je le trouve très juste : c'était celui utilisé à l'époque, et n'a aucune connotation raciste dans ce contexte. Cependant, tout le monde ne le comprendrait pas de la même façon...

Toutefois, des 5200 legionnaires qui étaient partis pour Haïti, seulement quelques centaines étaient encore vives en 1803, les autres était tombée à cause des combats, ou plus importantement, la fièvre jaune.


Toutefois, des 5200 legionnaires qui étaient partis pour Haïti, seulement quelques centaines étaient encore vives en 1803, les autres étaient tombées à cause des combats, ou plus importantement, la fièvre jaune.


Toutefois, des 5200 legionnaires qui étaient partis pour Haïti, seulement quelques centaines sont encore vives en 1803, les autres avaient tombées à cause des combats, ou plus importantement, la fièvre jaune.


Toutefois, des 5200 legionnaires qui étaient partis pour Haïti, seulement quelques centaines soétaient encore vivesen vie/avaient survécu en 1803, les autres avétaient tombées à cause des combats, ou plus importantement,souvent, à cause de la fièvre jaune.

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