May 17, 2021
J'avais un cours de français aujourd'hui et j'ai parlé de ma pensée sur l'anglicisme du français, donc je vais écrire dessus.
D'abord, il y a de bons côtés et de mauvais côtés de ce phénomène.
Il faut noter qu'une langue ne comprend pas toutes les notions qui existe dans le monde, et on doit importer les mots de l'étranger. C'est comme un plat : il n'y avait de couscous en France et c'est pour ça qu'on l'appele commet les Marocains font. Autre exemple, la geste « uploader » n'existait pas en France, alors elle a intégré ce mot des États-Unis. C'est la même au Japon : on l'écrirt « アップロード (appulodo) ». En fait parce qu'au Japon il existe les Katakana, qui est l'écriture phonétique qui nous permet d'écrire n'importe quel mot venant de l'étranger, on a adopté vraiment beaucoup de mots étrangères. Comme vous le voyez, c'est parfois nécessaire d'adopter les mots d'autre pays dans la vie quotidienne pour s'exprimer, surtout quand on parle de la nouvelle notion pour notre pays.
Mais, ce qui es problème, c'est de plus en plus des personnes commencent à utiliser les mots anglais alors qu'il y a les mots equivalents en français. Les mots anglais les remplacent dans ce cas-là, et les exposer à risque de disparaître. Je pense qu'on doit prendre cette situation au sérieux parce ça nous empêche de considérer la vraie définition des mots anglais. Quand on apprend de nouveau mots, les professeurs nous demande souvent de les redire en mots différents car ça montre à quel point que nous comprenons. C'est pour â qu'expliquer la notion qu'un mot porte, ce sont des bons exercices de mieux comprendre. Quand on utiliser les mots de l'étranger, dans ce cas des États-Unis, on comprend la notion mais souvent de manière floue. Ça sonne peut-être plus joli que les mots français, mais les locuteurs risquent de ne pas penser ce qu'il veut dire en détail, ce qui ne nous pousse pas à réfléchir au fond.
Pour conclure, il faut prendre des nouveau mots avec pincettes. Les nouveau mots servent seulement à décorer les histoires, qui pourrait faire les locuteurs paraître intéressants, alors qu'ils ne comprennent pas ce qu'ils veulent dire avec ces mots.
L'es angliscismes
J'avais/j'ai eu un cours de français aujourd'hui et j'ai parlé de ma penséeexprimé mes pensées/j'ai donné mon avis sur l'es anglicismes du français, donc je vais écrire là-dessus.
C'est compliqué de faire du mot «anglicisme» une abstraction générale, donc on tend à la mettre au pluriel, en parlant de tous les anglicismes
là-dessus = about this (le «this» est contenu dans «là-»)
D'abord, il y a des bons côtés et des mauvais côtés deà ce phénomène.
Il faut noter qu'une langue ne comprend pas toutes les notions qui existent dans le monde, et on doit impor(donc) emprunter ldes mots de l'étranger.
En linguistique, on parle plus d'«emprunt», mais «importer» se comprend; dans tous les cas, il est clair ici qu'il s'agit d'emprunts d'autres langues, donc vous pouvez éviter de le repréciser
C'est comme un plat : il n'y avait de couscous en France et c'est pour ça qu'on l'a appeleé commet les Marocains le font.
Autre exemple, la geste 'action d'« uploader » n'existait pas en France, alors ellece pays a intégré ce mot des États-Unis.
C'est la même au Japon : on l'écrirt « アップロード (appulodo) ».
«c'est la même» est un peu familier, mais s'emploie parfaitement; en français neutre, on dira plutôt «c'est la même chose»
En fait parce qu', comme au Japon il existe les Kkatakana, qui est l'écriture phonétique qui nous permet d'écrire n'importe quel mot venant de l'étranger, on en a adopté vraiment beaucoup de mots étrangères.
en = de mots étrangers (pour éviter la répétition)
Comme vous le voyez, c'il est parfois nécessaire d'adopter les mots d'autres pays dans la vie quotidienne pour s'exprimer, surtout quand on parle de la nouvelles notions pour notre payslangue/notre culture.
Je parlerais plus de «langues» ou de «culture», car énormément de langues ne se limitent pas à un pays.
«il est parfois» est un peu plus formel que «c'est parfois»
Mais, ce qui est un problème, c'est que de plus en plus des personne gens commencent à utiliser ldes mots anglais alors qu'il y a les motmême que leurs eéquivalents existent en français.
Soit «ce qui est problématique» (adjectif), soit «ce qui est un problème» (nom)
Les mots anglais les remplacent dans ces cas-là, et les exposer àur font courir le risque de disparaître.
On dit souvent «faire courir un risque à quelqu'un ou à quelque chose» (provoquer un risque)
Je pense qu'on doit prendre cette situation au sérieux parce çaqu'elle nous empêche de considérer la vraisaisir la véritable définition des mots anglais.
Quand on apprend de nouveau mots, les professeurs nous demandent souvent de les redire en mots différenformuler en utilisant d'autres mots, car ça montre à quel point que noucela prouve que nous les avons comprenonis.
reformuler = redire en des termes différents
Variante: «paraphraser/faire une paraphrase» = dire la même chose
C'est pour âça qu'expliquer la notion qu'un mot porte, ce sont des'est un bons exercices de pour mieux le comprendre.
Ici on aurait tendance à reprendre le groupe infinitif «expliquer l'idée derrière un mot» donc singulier («c'est»)
Quand on utiliser l des mots de l'étranger, dans ce cas des États-Unis, on comprend la notion mais souvent de manière flouepas le sens exact.
J'ai reformulé car une «notion» en français, c'est vague, alors qu'un «sens», ça peut-être plus précis. Par exemple, on pourrait dire que la notion derrière «avion» est un moyen de transport, mais le sens précis du mot va bien sûr au-delà de ça.
ÇaIls sonnent peut-être plus jolimieux que les mots français, mais les locuteurs risquent de ne pas penser ce qu'il veut dire en détailà son sens exact, ce qui ne noules poussera pas à réfléchir au fondavoir une pensée précise/rigoureuse.
Ici je reprendrais «les mots étrangers» comme sujet, donc pluriel
Pour conclure, il faut prendre dles nouveau mots avec des pincettes.
Les nouveau mots servent seulement à enjoliver/décorer les histoires, qui pourrait fairénoncés, afin que les locuteurs paraîtuissent se rendre intéressants, alors qu'ile ces derniers ne comprennent pas ce qu'ile ces mots veulent dire avec ces mots.
se rendre intéressant/faire son intéressant = se vanter, vouloir se faire remarquer, vouloir briller
Les locuteurs comprennent «ce qu'ils veulent dire avec ces mots» (= l'idée qu'ils ont grosso modo en tête en utilisant ces mots-là et qu'ils eulent transmettre) mais ne comprennent pas leur «ce que CES MOTS VEULENT dire» (= la signification de ces mots)
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Ce n'était pas un sujet facile ! J'aurais eu d'autres choses à expliquer, mais je n'ai pas voulu que ce soit trop long; je préfère vous laisser poser une question si un passage spécifique vous pose problème !
L'angliscisme L |
J'avais un cours de français aujourd'hui et j'ai parlé de ma pensée sur l'anglicisme du français, donc je vais écrire dessus. J'avais/j'ai eu un cours de français aujourd'hui et j'ai C'est compliqué de faire du mot «anglicisme» une abstraction générale, donc on tend à la mettre au pluriel, en parlant de tous les anglicismes là-dessus = about this (le «this» est contenu dans «là-») |
D'abord, il y a de bons côté et de mauvais côté de ce phénomène. |
Il faut noter qu'une langue ne comprend pas toutes les notions qui existe dans le monde, et on doit importer les mots de l'étranger. Il faut noter qu'une langue ne comprend pas toutes les notions qui existent dans le monde, et on doit En linguistique, on parle plus d'«emprunt», mais «importer» se comprend; dans tous les cas, il est clair ici qu'il s'agit d'emprunts d'autres langues, donc vous pouvez éviter de le repréciser |
C'est comme un plat : il n'y avait de couscous en France et c'est pour ça qu'on l'appele commet les Marocains font. C'est comme un plat : il n'y avait de couscous en France et c'est pour ça qu'on l'a appel |
Autre exemple, la geste « uploader » n'existait pas en France, alors elle a intégré ce mot des États-Unis. Autre exemple, l |
C'est la même au Japon : on l'écrirt « アップロード (appulodo) ». C'est la même au Japon : on l'écri «c'est la même» est un peu familier, mais s'emploie parfaitement; en français neutre, on dira plutôt «c'est la même chose» |
En fait parce qu'au Japon il existe les Katakana, qui est l'écriture phonétique qui nous permet d'écrire n'importe quel mot venant de l'étranger, on a adopté vraiment beaucoup de mots étrangères. En fait en = de mots étrangers (pour éviter la répétition) |
Comme vous le voyez, c'est parfois nécessaire d'adopter les mots d'autre pays dans la vie quotidienne pour s'exprimer, surtout quand on parle de la nouvelle notion pour notre pays. Comme vous le voyez, Je parlerais plus de «langues» ou de «culture», car énormément de langues ne se limitent pas à un pays. «il est parfois» est un peu plus formel que «c'est parfois» |
Mais, ce qui es problème, c'est de plus en plus des personnes commencent à utiliser les mots anglais alors qu'il y a les mots equivalents en français. Mais, ce qui est un problème, c'est que de plus en plus de Soit «ce qui est problématique» (adjectif), soit «ce qui est un problème» (nom) |
Les mots anglais les remplacent dans ce cas-là, et les exposer à risque de disparaître. Les mots anglais les remplacent dans ces cas-là, et le On dit souvent «faire courir un risque à quelqu'un ou à quelque chose» (provoquer un risque) |
Je pense qu'on doit prendre cette situation au sérieux parce ça nous empêche de considérer la vraie définition des mots anglais. Je pense qu'on doit prendre cette situation au sérieux parce |
Quand on apprend de nouveau mots, les professeurs nous demande souvent de les redire en mots différents car ça montre à quel point que nous comprenons. Quand on apprend de nouveau mots, les professeurs nous demandent souvent de les re reformuler = redire en des termes différents Variante: «paraphraser/faire une paraphrase» = dire la même chose |
C'est pour â qu'expliquer la notion qu'un mot porte, ce sont des bons exercices de mieux comprendre. C'est pour Ici on aurait tendance à reprendre le groupe infinitif «expliquer l'idée derrière un mot» donc singulier («c'est») |
Quand on utiliser les mots de l'étranger, dans ce cas des États-Unis, on comprend la notion mais souvent de manière floue. Quand on utilise J'ai reformulé car une «notion» en français, c'est vague, alors qu'un «sens», ça peut-être plus précis. Par exemple, on pourrait dire que la notion derrière «avion» est un moyen de transport, mais le sens précis du mot va bien sûr au-delà de ça. |
Ça sonne peut-être plus joli que les mots français, mais les locuteurs risquent de ne pas penser ce qu'il veut dire en détail, ce qui ne nous pousse pas à réfléchir au fond.
Ici je reprendrais «les mots étrangers» comme sujet, donc pluriel |
Pour conclure, il faut prendre des nouveau mots avec pincettes. Pour conclure, il faut prendre |
Les nouveau mots servent seulement à décorer les histoires, qui pourrait faire les locuteurs paraître intéressants, alors qu'ils ne comprennent pas ce qu'ils veulent dire avec ces mots. Les nouveau mots servent seulement à enjoliver/décorer les se rendre intéressant/faire son intéressant = se vanter, vouloir se faire remarquer, vouloir briller Les locuteurs comprennent «ce qu'ils veulent dire avec ces mots» (= l'idée qu'ils ont grosso modo en tête en utilisant ces mots-là et qu'ils eulent transmettre) mais ne comprennent pas leur «ce que CES MOTS VEULENT dire» (= la signification de ces mots) |
D'abord, il y a de bons côtés et de mauvais côtés de ce phénomène. D'abord, il y a des bons |
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