Sept. 1, 2021
Le concept d'une ville d'un quart de temps semble beaucoup parlé aujourd'hui. C'est l'idée dans laquelle les établissements qu'on utilise quatidiennement se situent tous à 15 minutes à pied. Se réalisant, ça deminue le temps de transport, ce qui entraîne moins de l'empreinte carbon venant du transport et nous laisse plus de temps libre.
Je trouve cette idée assez passionante, parce que j'ai une expérience de avoir passé 2 heures dans le train pour aller au bureau et autre 2 heures pour rentrer chaque jour. Ça a été très dur etrangement, alors que la plupart de temps je m'asseyais juste sur la banquette. J'étais à bout après être rentrée de travail tous les jours. De cette mauvais souvenir, je pense aussi que c'est important de réduire du temps de transport.
Mais je comprends aussi le point de vue critique dans ce débat : c'est trop idéal. Quand la mairie s'avance avec le plan peu convenable pour la majorité des gens, la ville risque d'être moins vivable. C'est peut-être la cas de la nouvelle mesure de la limite de la vitesse maximal à 30km/h dans les rues principales. Cette politique convient aux Parisiens qui peuvent se déplacer en métro, en tram ou à pied, mais non pas pour les Banlieusards, qui doivent employer des voitures pour aller à des endroits où ils travaillent. Paris n'est pas que pour les Parisiens, mais aussi pour les personnes qui y fréquentent. Ils ne peuvent pas les exclure de leur plan urbain.
L'idéal, c'est imporant quand on concevoit la future ville, mais on doit faire attention à ne pas rétrécir notre horizon pour pouvoir trouver des solutions sincèrement pratique pour le monde le plus nombreux possible.
La ville d'unu quart de temps'heure
Le concept d'une ville d'un quart de temps'heure semble beaucoup parlédiscuté/débattu aujourd'hui.
On parle une langue (transitif), mais on ne «parle pas un sujet», à la rigueur on parle «D'un sujet» (préposition); pour cette raison, le passif est impropre ici
En revanche, un sujet peut être débattu/discuté
C'est l'idée dansselon laquelle les établissements qu'on utilislieux qu'on fréquente quaotidiennement se situdevraient tous se situer à 15 minutes à pied.
Comme il s'agit ici d'un projet pour la ville dans son ensemble, et qu'il n'est pas réalisé, j'utiliserais «devraient se situer»
SCe réalfaisant, ça deiminue le(s) temps de transport, ce qui entraîne moins de l'une empreinte carbon venant du transporte moins importante, et nous laisse plus de temps libre.
Il est clair ici qu'il s'agit de l'empreinte carbone liée aux transports, et vous n'avez pas besoin de le repréciser
Je trouve cette idée assez passionnante, parce que j'ai une expérience de avoir'il m'est déjà arrivé de passéer 2 heures dans le train pour aller au bureau et 2 autre 2s heures pour rentrer chaque jour.
«il m'est arrivé de» est une structure utile et très idiomatique pour parler d'expériences passées
Ça a été très dur e, étrangement, alors que la plupart deu temps, je m'asseyais juste sur la banquette.
J'étais à bout après être rentrée deu travail tous les jours.
Vous pouvez aussi écrire «en rentrant du travail» car la fatigue se faisait déjà sentir alors que vous étiez dans le train
De cette mauvais souvenir, je pense aussi que c'est important de réduire dule(s) temps de transport.
Alternative: «qu'il est important» (un peu plus formel)
Mais je comprends aussi le point de vue critique dans ce débat : c'est trop idéala critique qu'on oppose à cette idée : c'est (une solution) utopique.
Dans un débat, un point de vue critique n'est pas forcément un point de vue opposé (plutôt un point de vue argumenté), cela peut donc concerner l'opinion pour et l'opinion contre. Cependant, une critique qu'on oppose à une idée est logiquement dirigée contre elle: pour préciser, j'ai donc modifié un peu la phrase
utopique = tellement parfait que c'est irréalisable (une utopie = un lieu imaginaire où tout va bien)
Quand la mairie s'avance avec leun plan peu convenable pour la majorité des gens, la ville risque d'être moins vivable.
C'est peut-être la cas de la nouvelle mesure de laconsistant à limite der la vitesse maximale à 30km/h dans les rues principala plupart des rues.
Cette politique convient aux Parisiens qui peuvent se déplacer en métro, en tram ou à pied, mais non pas pour les Bpas aux banlieusards, qui doivent employer desutiliser la voitures pour aller à desaux endroits où ils travaillent.
«employer» est un peu trop technique/formel ici
Paris n'est pas que pour les Parisiens, mais aussi pour les personnes qui y fréqus'y rentdent.
fréquenter quelqu'un ou quelque chose (transitif)
se rendre à (un endroit)
IlsOn ne peuvent pas les exclure de leuru plan urbain.
«ils» exigerait que vous précisiez le sujet auparavant; si vous voulez utiliser un pronom général, collectif => on
L'Avoir un idéal, c'est important quand on concevçoit laune future ville, mais on doit faire attention à ne pas rétrécir notre horizonperdre de vue certaines réalités pour pouvoir trouver des solutions sincèrement pratiques pour le monde le plus nombreuxplus de monde possible.
perdre de vue (ici) = oublier, ne plus voir (cela peut aussi se dire pour des personnes)
Feedback
Ça a en effet l'air assez utopique. Même en décentralisant au maximum les services, bureaux et magasins, la simple concentration d'habitants/km2 fait que les grandes villes auront toujours des temps de transport incroyablement longs.
La solution serait de réduire la taille des villes et des agglomérations, or aujourd'hui on fait l'inverse, on l'augmente (peut-être que vous avez entendu parler du projet du Grand Paris). À titre personnel, je trouve déjà les villes de plus de 500 000 habitants invivables humainement et écologiquement.
La ville d'un quart de temps La ville d |
Le concept d'une ville d'un quart de temps semble beaucoup parlé aujourd'hui. Le concept d On parle une langue (transitif), mais on ne «parle pas un sujet», à la rigueur on parle «D'un sujet» (préposition); pour cette raison, le passif est impropre ici En revanche, un sujet peut être débattu/discuté |
C'est l'idée dans laquelle les établissements qu'on utilise quatidiennement se situent tous à 15 minutes à pied. C'est l'idée Comme il s'agit ici d'un projet pour la ville dans son ensemble, et qu'il n'est pas réalisé, j'utiliserais «devraient se situer» |
Se réalisant, ça deminue le temps de transport, ce qui entraîne moins de l'empreinte carbon venant du transport et nous laisse plus de temps libre.
Il est clair ici qu'il s'agit de l'empreinte carbone liée aux transports, et vous n'avez pas besoin de le repréciser |
Je trouve cette idée assez passionant, parce que j'ai une expérience de avoir passé 2 heures dans le train pour aller au bureau et autre 2 heures pour rentrer chaque jour. |
Ça a été très dur etrangement, alors que la plupart de temps je m'asseyais juste sur la banquette. Ça a été très dur |
J'étais à bout après être rentré de travail tous les jours. |
De cette mauvais souvenir, je pense aussi que c'est important de réduire du temps de transport. De ce Alternative: «qu'il est important» (un peu plus formel) |
Mais je comprends aussi le point de vue critique dans ce débat : c'est trop idéal. Mais je comprends aussi l Dans un débat, un point de vue critique n'est pas forcément un point de vue opposé (plutôt un point de vue argumenté), cela peut donc concerner l'opinion pour et l'opinion contre. Cependant, une critique qu'on oppose à une idée est logiquement dirigée contre elle: pour préciser, j'ai donc modifié un peu la phrase utopique = tellement parfait que c'est irréalisable (une utopie = un lieu imaginaire où tout va bien) |
Quand la mairie s'avance avec le plan peu convenable pour la majorité des gens, la ville risque d'être peu vivable. |
C'est peut-être la cas de la nouvelle mesure de la limite de la vitesse maximal à 30km/h dans les rues principales. C'est peut-être la cas de la nouvelle mesure |
Cette politique convient aux Parisiens qui peuvent se déplacer en métro, en tram ou à pied, mais non pas pour les Banlieusards, qui doivent employer des voitures pour aller à des endroits qu'ils travaillent. |
Paris n'est pas que pour les Parisiens, mais aussi pour les personnes qui y fréquentent. Paris n'est pas que pour les Parisiens, mais aussi pour les personnes qui fréquenter quelqu'un ou quelque chose (transitif) se rendre à (un endroit) |
Ils ne peuvent pas les exclure de leur plan urbain.
«ils» exigerait que vous précisiez le sujet auparavant; si vous voulez utiliser un pronom général, collectif => on |
L'idéal, c'est imporant quand on concevoit la future ville, mais on doit faire attention à ne pas rétrécir notre horizon pour pouvoir trouver des solutions sincèrement pratique pour le monde le plus nombreux possible.
perdre de vue (ici) = oublier, ne plus voir (cela peut aussi se dire pour des personnes) |
Je trouve cette idée assez passionante, parce que j'ai une expérience de avoir passé 2 heures dans le train pour aller au bureau et autre 2 heures pour rentrer chaque jour. Je trouve cette idée assez passionnante, parce qu «il m'est arrivé de» est une structure utile et très idiomatique pour parler d'expériences passées |
J'étais à bout après être rentrée de travail tous les jours. J'étais à bout après être rentrée d Vous pouvez aussi écrire «en rentrant du travail» car la fatigue se faisait déjà sentir alors que vous étiez dans le train |
Quand la mairie s'avance avec le plan peu convenable pour la majorité des gens, la ville risque d'être moins vivable. Quand la mairie |
Cette politique convient aux Parisiens qui peuvent se déplacer en métro, en tram ou à pied, mais non pas pour les Banlieusards, qui doivent employer des voitures pour aller à des endroits où ils travaillent. Cette politique convient aux Parisiens qui peuvent se déplacer en métro, en tram ou à pied, mais «employer» est un peu trop technique/formel ici |
You need LangCorrect Premium to access this feature.
Go Premium