Jan. 31, 2023
J'ai beaucoup réfléchi sur quoi vous présenter; en fait, je pourrais remplir des pages et des pages sur elle, mais je dois bien choisir ce qu'est de votre intérêt. Dans ces intentions, voilà sa nausée.
Donc, clairement je ne va pas parler d'une nausée physique, ou plutôt d'une maladie physique, mais d'une nausée metaphysique, d'un mal de vivre, d'un douleur d'être. En fait, sa anxiété était seulement une petite partie de tout ça (d'ailleurs qui n'a jamais eu du mal de ventre ou des migraines avant un test ou un rendez-vous?). Si vous pouviez l'interroger sur ça, elle vous raconterait de son stress tout court; et on ne peut pas la critiquer de toute façon: personnes comme elles considèrent leurs sentiments et leurs idées les plus profondes comme inestimables. Par conséquent, n'hésitez pas à rêver au-delà de ce que elles vous présentent, à vous perdre dans la flânerie la plus belle que votre coeur vous peut donner.
Cela dit, sa nausée était plutôt le mal d'être malade, le douleur de ne pas être assez forte pour réussir à ne pas en ressentir; autrement dit, elle était écoeurée parce qu'elle ne réussissait à ne pas être écoeurée. Tout la confiance en sa intelligence était une exclusivité de son monde: quand devait la montrer, rien.
# IX
J'ai beaucoup réfléchi surà quoi vous présenter; : en fait, je pourrais remplir des pages et des pages sur elle, mais je dois bien choisir ce qu'est de votre intérêtles éléments pertinents à vos yeux.
Quelque chose qui est « de l'intérêt de quelqu'un » c'est quelque chose qui lui apporterait un bénéfice, un avantage concret, pas vraiment quelque chose qu'il trouverait intéressant. J'ai suggéré une manière de le dire.
Dans ces intentions, voilà[Parmi ceux-ci ?] figure sa nausée.
Je n'ai pas compris le début : les intentions de qui ? Les tiennes en choisissant ce qui serait pertinent pour nous ? Si tel est le cas, il faudrait modifier, sous peine d'avoir une phrase incompréhensible. « Ceux-ci » ne peut renvoyer qu'aux « éléments » précédemment cités, donc c'est très clair
Donc,Je ne parle clairement je ne va pas parlerpas d'une nausée physique, ou plutôt d'une maladie physique, mais d'une nausée meétaphysique, d'un mal de vivre, d'une douleur d'être.
« douleur » est féminin en français
En faréalité, saon anxiété était seulement une petite partie de tout ça (d'ailleurs, qui n'a jamais eu dues malux de ventre ou des migraines avant un test ou un rendez-vous ?).
Petite astuce stylistique : « en réalité » est bien souvent meilleur que « en fait » d'un point de vue stylistique
Bien qu'« anxiété » soit féminin, on utilise les possessifs masculins pour des raisons purement euphoniques, afin d'éviter deux voyelles qui se suivraient (*ma anxiété)
« mal de ventre » peut être mis au pluriel et d'ailleurs, c'est le pluriel qui est le plus commun
Si vous pouviez l'interroger sur çace sujet, elle vous racontparlerait de son stress tout court;, et on ne peut pas la critiquer de toute façon: : les personnes comme elles considèrent que leurs sentiments et leurs idées les plus profondes commesont inestimables.
« raconter » (directement transitif) s'utilise pour quelque chose de concret (raconter une histoire, un conte etc), et on utilise plutôt « parler de » pour un thème, un sujet
les personnes comme la femme => comme elle (singulier)
les sentiments (m.) + les idées (f.) = accord par défaut au m. pluriel (profonds)
Dans la dernière proposition, ce serait syntaxiquement bien mieux d'utiliser directement le verbe « estimer » et de faire une subordonnée
Par conséquent, n'hésitez pas à rêver au-delà de ce que 'elles vous présentent, à vous perdre dans la flânerie la plus belle flânerie que votre coeur vous peut donneesprit puisse vous offrir.
que+voyelle => qu'
Je pense qu'une phrase comme « n'hésitez pas à laisser votre imagination deviner ce qu'elles n'osent pas vous dire » exprimerait plus précisément ce que tu veux dire, mais comme je n'en suis pas sûr...
La « flânerie » est normalement une affaire d'esprit (imagination, rêve etc) bien que les sentiments et le cœur en soient parfois la principale énergie. En tout cas, outre ces considérations philosophiques, dirons-nous, c'est bizarre en français de rapporter cela au cœur.
Le subjonctif est parfois utilisé après un superlatif, particulièrement lorsqu'on parle de quelque chose d'hypothétique, in potentia (comme c'est ici le cas)
Cela dit, sa nausée était plutôt le mal d'[être maladeinfirme ?], le douleur de ne pas être assez forte pour réussir à ne pas en ressentirafin de la surmonter ; autrement dit, elle était écoeœurée parce qu'elle ne réussissaitparvenait pas à ne pas l'être écoeurée.
« le mal d'être malade » est un peu répétitif = le mal d'être infirme ? le mal d'être faible ?
La structure est très lourde et compliquée, rendant au final la sémantique confuse. Si j'ai bien compris, sa nausée est celle de ne pas réussir à être assez forte pour supporter la douleur ? C'est ce que veulent dire les simplifications de cette phrase
Tout lsa confiance en saon intelligence était une exclusivité dee à son monde : quand devait laen montrer, rien ailleurs, rien ne transparaissait.
Même remarque que précédemment sur les possessifs masculins pour raisons euphoniques
Je suppose que tu veux dire « rien ne se passait quand elle devait en montrer dans la vie réelle », « IRL » comme on dit. Dans ce cas, il faudrait préciser
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# IX This sentence has been marked as perfect! |
J'ai beaucoup réfléchi sur quoi vous présenter; en fait, je pourrais remplir des pages et des pages sur elle, mais je dois bien choisir ce qu'est de votre intérêt. J'ai beaucoup réfléchi Quelque chose qui est « de l'intérêt de quelqu'un » c'est quelque chose qui lui apporterait un bénéfice, un avantage concret, pas vraiment quelque chose qu'il trouverait intéressant. J'ai suggéré une manière de le dire. |
Dans ces intentions, voilà sa nausée.
Je n'ai pas compris le début : les intentions de qui ? Les tiennes en choisissant ce qui serait pertinent pour nous ? Si tel est le cas, il faudrait modifier, sous peine d'avoir une phrase incompréhensible. « Ceux-ci » ne peut renvoyer qu'aux « éléments » précédemment cités, donc c'est très clair |
Donc, clairement je ne va pas parler d'une nausée physique, ou plutôt d'une maladie physique, mais d'une nausée metaphysique, d'un mal de vivre, d'un douleur d'être.
« douleur » est féminin en français |
En fait, sa anxiété était seulement une petite partie de tout ça (d'ailleurs qui n'a jamais eu du mal de ventre ou des migraines avant un test ou un rendez-vous?). En Petite astuce stylistique : « en réalité » est bien souvent meilleur que « en fait » d'un point de vue stylistique Bien qu'« anxiété » soit féminin, on utilise les possessifs masculins pour des raisons purement euphoniques, afin d'éviter deux voyelles qui se suivraient (*ma anxiété) « mal de ventre » peut être mis au pluriel et d'ailleurs, c'est le pluriel qui est le plus commun |
Si vous pouviez l'interroger sur ça, elle vous raconterait de son stress tout court; et on ne peut pas la critiquer de toute façon: personnes comme elles considèrent leurs sentiments et leurs idées les plus profondes comme inestimables. Si vous pouviez l'interroger sur « raconter » (directement transitif) s'utilise pour quelque chose de concret (raconter une histoire, un conte etc), et on utilise plutôt « parler de » pour un thème, un sujet les personnes comme la femme => comme elle (singulier) les sentiments (m.) + les idées (f.) = accord par défaut au m. pluriel (profonds) Dans la dernière proposition, ce serait syntaxiquement bien mieux d'utiliser directement le verbe « estimer » et de faire une subordonnée |
Par conséquent, n'hésitez pas à rêver au-delà de ce que elles vous présentent, à vous perdre dans la flânerie la plus belle que votre coeur vous peut donner. Par conséquent, n'hésitez pas à rêver au-delà de ce qu que+voyelle => qu' Je pense qu'une phrase comme « n'hésitez pas à laisser votre imagination deviner ce qu'elles n'osent pas vous dire » exprimerait plus précisément ce que tu veux dire, mais comme je n'en suis pas sûr... La « flânerie » est normalement une affaire d'esprit (imagination, rêve etc) bien que les sentiments et le cœur en soient parfois la principale énergie. En tout cas, outre ces considérations philosophiques, dirons-nous, c'est bizarre en français de rapporter cela au cœur. Le subjonctif est parfois utilisé après un superlatif, particulièrement lorsqu'on parle de quelque chose d'hypothétique, in potentia (comme c'est ici le cas) |
Cela dit, sa nausée était plutôt le mal d'être malade, le douleur de ne pas être assez forte pour réussir à ne pas en ressentir; autrement dit, elle était écoeurée parce qu'elle ne réussissait à ne pas être écoeurée. Cela dit, sa nausée était plutôt le mal d'[être « le mal d'être malade » est un peu répétitif = le mal d'être infirme ? le mal d'être faible ? La structure est très lourde et compliquée, rendant au final la sémantique confuse. Si j'ai bien compris, sa nausée est celle de ne pas réussir à être assez forte pour supporter la douleur ? C'est ce que veulent dire les simplifications de cette phrase |
Tout la confiance en sa intelligence était une exclusivité de son monde: quand devait la montrer, rien. Tout Même remarque que précédemment sur les possessifs masculins pour raisons euphoniques Je suppose que tu veux dire « rien ne se passait quand elle devait en montrer dans la vie réelle », « IRL » comme on dit. Dans ce cas, il faudrait préciser |
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