April 6, 2021
L'anthropologue David Graeber, décédé le septembre dernier, était le premier à décrire un phénomène autant intéressant que délétère : l'existence des « jobs à la con ». Ce sont des travaux complètement inutiles, et les travailleurs le savent bien. C'est brutal passer huit heures chaque jour à faire quelque chose qui ne fait pas la moindre différence dans le monde. Malheureusement, je connais bien cette expérience ; je me demandais souvent « Est-ce que si je n'étais pas venu au bureau aujourd'hui, ça aurait changé quelque chose? » pendant ma « carrière ». La réponse était souvent que non. Encore pire, quelquefois je pensais que le monde serait meilleur, spécialement quand je travaillais comme spécialiste de soutien aux clients dans une entreprise française qui fait les jeux vidéo. Si je ne faisais pas mon travail, quelqu'un pourrait hypothétiquement passer son temps libre en faisant quelque chose de plus important.
Quand même, j'avais eu besoin de ce travail, donc il était impératif que j'aie survécu mes jours là-bas. Les autres dans mon équipe partageaient mon sentiment, même notre superviseur, qui avait sa propre manière de la faire : il n'était là qu'environ d'un jour par mois. Apparemment il était toujours en congés de maladie payés. D'autre part, on a eu besoin de trouver une autre voie : on avait le droit à vingt minutes de pause quotidiennement, et il y avait un supermarché bien proche de notre bureau. Quand il faisait soleil, nous prenions souvent nos pauses en même temps, achetions une bouteille de vin au Lidl, et la buvions dans le parc en profitant aussi des beaux temps. Il était un peu plus agréable de travailler le reste de jour après ça, et ça nous aussi rappelait la jeunesse, comme si nous étions des gamins à l'école, en faisant quelque chose d'interdit.
Comment survivre à un job à la con
L'anthropologue David Graeber, décédé len septembre dernier, étaita été le premier à décrire un phénomène autantssi intéressant que délétère : l'existence des « jobs à la con ».
Ce sont des travaux complètement inutiles, et les travailleurs le savent bien.
Je dirais "activités" ou "tâches" pour éviter la répétition.
C'est brutal passer de huit heures chaque jour à faire quelque chose qui ne fait pas la moindre différence dans le monde.
Malheureusement, je connais bien cette expérience ; j. Je me demandasuis souvent « Est-ce que sdemandé : "Si je n'étais pas venu au bureau aujourd'hui, est-ce que ça aurait changé quelque chose? ?"
» pMalheureusement, je connais bien cette expérience. Pendant ma « carrière »., je me suis souvent demandé : "Si je n'étais pas venu au bureau aujourd'hui, est-ce que ça aurait changé quelque chose ?"
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La réponse était souvent que non.
Encore pire, quelquefois je pensais que le monde serait meilleur SI JE N'ETAIS PAS VENU, spécialement quand je travaillais comme spécialiste de soutien aux'assistance à la clientsèle dans une entreprise française qui fait lcrée des jeux vidéo.
Si je ne faisais pas mon travail, quelqu'un pourrait hypothétiquementpeut-être passer son temps libre en faisant quelque chose de plus important.
On utilise plutôt hypothétiquement dans des textes académiques ou philosophiques.
Quand même, j'avais eu besoin de ce travail, donc il était donc impératif que j'aie survécuive à mes jours là-bas.
Les autres danse mon équipe partageaient mon sentiment, même notre superviseur, (qui avait sa propre manière de la faire ) : il n'était là qu'environ d'un jour par mois.
Sa propre manière de faire quoi ? Je comprends qu'il trouvait sa tâche inutile et travaillait donc le moins possible mais "la faire" ? "la" se rapporte à quoi ?
Apparemment il était toujours en congés de maladie payés.
"congés payés" ou "congé maladie"
D'autre part, on a eu besoin dee notre côté, il a fallu trouver une autre voiemoyen de perdre du temps : on avait le droit à vingt minutes de pause quotidiennements, et comme il y avait un supermarché bien proche de notre bureau... quand il faisait soleil, etc etc.
"D'autre part" de quoi ? On dit " D'une part ci, et puis d'autre part..." Où est l'autre ?
Quel rapport avec la phrase précédente ? Cette phrase est très maladroite.
N'aie pas peur des phrases longues, c'est du français !
Quand il faisait soleilbeau, nous prenions souvent nos pauses en même temps,. Nous achetions une bouteille de vin au Lidl, et la buvions dans le parc en profitant aussi desu beaux temps.
ou "Quand il y avait du soleil"
Il C'était un peu plus agréable après ça de travailler le reste de la jour après çanée, et ça nous aussi rappelait la jeunesseaussi notre jeunesse de faire quelque chose d'interdit, comme si nous étions encore des gamins à l'école, en faisant quelque chose d'interdit .
Feedback
Tu y es presque. Ton vocabulaire est excellent et étendu. Par contre, il faut que tu travailles tes temps.
Tes phrases sont maladroites parce que tu n'es pas familier avec les expressions françaises. Essaie de lire des textes sur la vie quotidienne. Les expressions "familières" sont généralement celles qu'on utilise quand on n'essaie pas d'impressionner.
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Comment survivre un job à la con Comment survivre à un job à la con |
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L'anthropologue David Graeber, décédé le septembre dernier, était le premier à décrire un phénomène autant intéressant que délétère : l'existence des « jobs à la con ». L'anthropologue David Graeber, décédé |
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Ce sont des travaux qui sont complètement inutiles, et les travailleurs le savent bien. |
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C'est brutal passer huit heures chaque jour à faire quelque chose qui ne fait pas la moindre différence dans le monde. C'est brutal passer de huit heures chaque jour à faire quelque chose qui ne fait pas la moindre différence dans le monde. |
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Malheureusement, je connais bien cette expérience ; je me demandais souvent « Est-ce que si je n'étais pas venu au bureau aujourd'hui, ça aurait changé quelque chose? Malheureusement, je connais bien cette expérience |
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» pendant ma « carrière ».
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La réponse était souvent que non. ou ¶ |
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Encore pire, quelquefois je pensais que le monde serait meilleur, spécialement quand je travaillais comme spécialiste de soutien aux clients dans une entreprise française qui fait les jeux vidéo. Encore pire, quelquefois je pensais que le monde serait meilleur SI JE N'ETAIS PAS VENU, spécialement quand je travaillais comme spécialiste d |
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Si je ne faisais pas mon travail, quelqu'un pourrait hypothétiquement passer son temps libre en faisant quelque chose de plus important. Si je ne faisais pas mon travail, quelqu'un pourrait On utilise plutôt hypothétiquement dans des textes académiques ou philosophiques. |
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Quand même, j'avais eu besoin de ce travail, donc il était impératif que j'aie survécu mes jours là-bas. Quand même, j'avais |
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Les autres dans mon équipe partageaient mon sentiment, même notre superviseur, qui avait sa propre manière de la faire : il n'était là qu'environ d'un jour par mois. Les autres d Sa propre manière de faire quoi ? Je comprends qu'il trouvait sa tâche inutile et travaillait donc le moins possible mais "la faire" ? "la" se rapporte à quoi ? |
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Apparemment il était toujours en congés de maladie payés. Apparemment il était toujours en congés de maladie payés. "congés payés" ou "congé maladie" |
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D'autre part, on a eu besoin de trouver une autre voie : on avait le droit à vingt minutes de pause quotidiennement, et il y avait un supermarché bien proche de notre bureau. D "D'autre part" de quoi ? On dit " D'une part ci, et puis d'autre part..." Où est l'autre ? Quel rapport avec la phrase précédente ? Cette phrase est très maladroite. N'aie pas peur des phrases longues, c'est du français ! |
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Quand il faisait soleil, nous prenions souvent nos pauses en même temps, achetions une bouteille de vin au Lidl, et la buvions dans le parc en profitant aussi des beaux temps. Quand il faisait ou "Quand il y avait du soleil" |
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Il était un peu plus agréable de travailler le reste de jour après ça, et ça nous aussi rappelait la jeunesse, comme si nous étions des gamins à l'école, en faisant quelque chose d'interdit.
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Ce sont des travaux complètement inutiles, et les travailleurs le savent bien. Ce sont des travaux complètement inutiles, et les travailleurs le savent bien. Je dirais "activités" ou "tâches" pour éviter la répétition. |
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